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Abandon payantPlus légère plus agile moins onéreuse... en renonçant à lÂ?hybride et sa lourde batterie la 508 RXH ne perd pas au change. D'autant que cette fausse aventurière devient même plus sobre sur route et autoroute.
Pour les acheteurs de breaks baroudeurs la transmission intégrale nÂ?est plus forcément un impératif. De quoi inciter la
Fini le côté pataud que lÂ?on pouvait reprocher à la RXH hybride. On retrouve une 508 classique avec un comportement remarquable dÂ?efficacité et un confort dÂ?excellent niveau sur route. CÂ?est seulement à basse vitesse que lÂ?on peut déplorer une certaine fermeté accentuée par les grosses roues de 18 pouces livrées de série. En dépit dÂ?une puissance en baisse de 20 ch les performances sont aussi nettement supérieures à celles de lÂ?HYbrid4. Cette fois l'écart de poids n'est pas seul en cause. La 508 RXH BlueHDi profite aussi d'une boîte automatique à convertisseur à la fois plus douce plus rapide et plus réactive que la transmission robotisée de sa jumelle. Exit les effets de salut qui subsistaient encore lors de certains changements de rapports. Les raisons de continuer à préférer l'hybride se révèlent donc minces. D'autant que la suppression de l'encombrante batterie logée sous le plancher permet de retrouver la hauteur et le volume généreux d'un coffre de 508 SW. En revanche le diesel BlueHDi se fait trop entendre à l'accélération et il n'y a évidemment plus de mode électrique pour évoluer en silence pendant quelques instants. Quant à l'analyse des consommations elle donne lieu à un bilan plus contrasté. Si l'HYbrid4 demeure bien plus sobre en utilisation urbaine il se montre nettement plus gourmand sur route et carrément assoiffé sur autoroute : il y réclame 14 l/100 km de plus en moyenne. Sauf si vous roulez essentiellement en ville où ce grand break qui braque mal sÂ?avère peu à l'aise le simple BlueHDi prend aisément l'ascendant. Publié le 15/07/2015 |
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15/07/2015 |
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annee |
2015 |